Rapport d'étape
C'est à la suite de mes différents stages effectués durant mon parcours solaire, que j'ai voulu, durant mon année de Master 2 spécialité professeur des écoles, m'orienter vers les mathématiques pour mon mémoire. C'est au cours des deux premières séances de séminaire que j'ai effectué un premier choix de sujet. Ce dernier visait l'alignement et l'erreur au cycle 3. Avant mon premier stage, début décembre, j'avais intitulé mon sujet de la façon suivante : « L'erreur en mathématiques : un outil pour enseigner la géométrie ? : le cas de l'alignement au cycle. ». Pour en arriver à cet intitulé, j'avais constitué une bibliographie sur le thème de l'erreur et de l'alignement. Au début des séances, mon sujet visait plus la géométrie au cycle 3 avec l'apprentissage de la droite, de l'alignement. Mais au file de mes lectures que j'ai voulu abordé l'erreur au cycle 3 en me ciblant sur le cas de l'alignement.
Cependant, pour mon stage, j'ai été affecté au cycle 2, j'ai donc voulu adapté mon sujet de mémoire au cycle 2. Mais l'EMF m'a expliqué que c'est l'enseignante qui prend la classe lors de sa journée de décharge qui enseigne la géométrie et qu'en aucun cas, je ne pourrai observé une séance de géométrie durant mon stage et les autres stages de mars et avril pour appuyer mon mémoire. Ainsi, au cours de mon stage et étant donné mon affectation, j'ai adapté mon sujet au stage. Ma problématique a donc changé. Je me suis dirigé vers l'utilisation de l'erreur dans l'apprentissage de la numération au CP.
Même si j'ai changé de sujet, à savoir que je suis passé de la géométrie à la numération, je suis resté centrer sur l'erreur et son utilisation à travers les apprentissages.
En effet, au cours de mon parcours scolaire, j'ai le souvenir d'avoir mal vécu chaque erreur que je faisais dans mes productions. En effet, l'erreur, pour ma part mais pour beaucoup d'élèves, est vécue comme une marque de honte, d'échec vis-à-vis de l'enseignant, du jugement des