Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance ont diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette baisse a été injustement attribuée uniquement aux politiques ultra sécuritaires du maire Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998 mais elle est plutôt due à la gentrification de New York qui a « poussé » une importante partie du crime vers le New Jersey et à des facteurs démographiques communs à l'ensemble des États-Unis comme l'a démontré l'économiste Steven_Levitt dans son livre Freakonomics. Durant cette période, le nombre de meurtres par an a été divisé par plus de trois[2]. De nombreux politiciens et penseurs conservateurs ont récupéré avec plus ou moins de bonheur la théorie de la théorie de la vitre brisée corollaire de la Tolérance_zéro de Rudoplh Guliani, avec des résultats nuls comme au Royaume-Uni (émeutes de Londres) voire contre-productifs (forte hausse des atteintes aux personnes en France). Aujourd'hui les criminologues attribuent généralement les résultats de Giuliani à un mélange de chance, de facteurs démographiques et à une gestion plus rigoureuse des forces de police plutôt qu'à une démarche uniquement répressive.Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance ont diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette baisse a été injustement attribuée uniquement aux politiques ultra sécuritaires du maire Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998 mais elle est plutôt due à la gentrification de New York qui a « poussé » une importante partie du crime vers le New Jersey et à des facteurs démographiques communs à l'ensemble des États-Unis comme l'a démontré l'économiste Steven_Levitt dans son livre Freakonomics. Durant cette période, le nombre de meurtres par an a été divisé par plus de trois[2]. De nombreux politiciens et penseurs conservateurs ont récupéré avec plus ou moins de bonheur la théorie de la théorie de la vitre brisée corollaire de la Tolérance_zéro de Rudoplh Guliani, avec des résultats nuls