Recherche sur l'agriculture biologique
Aujourd’hui en France, seulement 2,5% des agriculteurs utilisent l’agriculture biologique. Ce type d’agriculture est mal répandu car elle propose un rendement faible pour une meilleure qualités et diversité de produits. La mondialisation fait qu’un agriculteur doit produire plus pour gagner plus, il est donc préférable qu’il se dirige vers une agriculture intensive. Elle permet de produire beaucoup plus que l’agriculture biologique mais de moins bonne qualité. De plus, son utilisation dégrade et pollue les écosystèmes ainsi que l’eau des nappes phréatiques, les sols … Nous allons donc chercher quels solutions l’agriculture biologique propose-t-elle pour éviter les effets négatifs de l’agriculture intensive.
Les principales sources de pollution dans l’agriculture sont les pesticides et l’engrais chimique. Ils sont répandus dans les parcelles cultivées et, la partie « non-absorbée » par la plante est transportée par le ruissèlement de l’eau vers les nappes phréatiques. De plus, les pesticides tuent tous les animaux présents sur le terrain cultivé (vers, insectes, champignons parasites …). L’agriculture biologique proscrit l’utilisation de tous ces produits excepté ceux dit « naturels » comme la récupération des déchets organiques, le compost … L’utilisation de l’eau est très différente de celle de l’agriculture intensive. Au lieu d’être distribuer dans les champs par d’immenses arroseurs automatiques, les plantes sont arrosées pieds par pieds afin de ne rien gaspiller. De plus, cette technique permet une bien meilleure infiltration de l’eau jusqu’aux racines et de n’utiliser que le strict minimum d’eau nécessaire aux plantes. L’utilisation des pesticides fragilise les écosystèmes et provoque alors la disparition de certaines espèces d’êtres vivants (insectes, champignons …). Ces mêmes pesticides nuisent aussi à l’homme car ils peuvent provoquer de multiples cancers. Les sols cultivés par l’agriculture intensive se retrouvent donc