René descartes
Par Mehdi Mounaji
Travail présenté à monsieur René Lafleur Cours FRA-103, Littérature Québécoise, groupe8
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Cégep de Saint-Laurent -29 septembre 2010
Dans son roman, La Scouine, Albert Laberge consacre la plus grande partie de son œuvre à une critique de la vie rurale ce qui peur laisser croire que le propos de son écrit n’est que l’envers du roman du terroir. En effet, l’auteur s’attaque à cette idéologie de la conservation .D’abord, la culture dans le monde paysan est sans importance. L’apprentissage, la connaissance, et le développement de l’esprit sont d’une hiérarchisation ignoble. La scouine tolère mal l’éducation : «non, bien sur qu’elle n’apprendrait pas tout ca. Jamais de la vie» (p.28). Étant donnée, les problèmes ethniques entrainent des tensions entre Canadien-Français et Anglais, l’agriculture devient une caractéristique de différenciation entre les deux peuples. La vie dans les champs est dès plus éprouvantes, et l’arrivée d’un nouveau membre est bénéfique au sein d’une famille. La scouine semble dénigrer l’idée du nouveau membre affirmant : « quand on a passé cinquante-et-un ans sans se voir, disait la Scouine, on peut bien attendre pour se rencontrer dans la vallée de Josaphat» (p.124).La Scouine est inconsciente du rôle de la terre dans l’existence du peuple Canadien-Français, et du même coup l’apport du nouveau membre dans l’entretien de cette terre.
Le monde rural est fatiguant voir destructeur .La religion apporte son lot de manipulation et d’indifférence .Les gens de l’église dressent un portrait matérialiste, et aucunement spirituel : «vous allez être obligé de lui faire un bon présent pour l’hospice,