Développement

Premièrement, la massification du contenu faite par l’absurde. D’abord, le débat sur le rhinocéros à une ou deux cornes. « Jean : Non, ce n’était pas le même rhinocéros. Celui tout à l’heure avait deux cornes sur le nez, c’était un rhinocéros d’Asie ; celui-ci n’en avait qu’une c’était un rhinocéros d’Afrique. » (Page 46). Suite à cette affirmation de Jean, Bérenger c’est énervé. Leur altercation a dégénéré au point ou Jean a quitté. Un simple débat sur un rhinocéros ou deux a pris de telles proportions qui n’étaient plus importantes de savoir d’où il venait et où il allait. Le débat aussi massif qu’un rhinocéros est devenu complexe et lourd quand les autres personnages on rejoint le débat. Ils ont fait une montagne de rien. Ensuite, l’épidémie de rhinocéros prend le village. « Daisy : Et d’autre encore. Beaucoup d’autre. Peut-être un quart des habitants de la ville.» (Page 138). Les gens se transforment en rhinocéros et cela prend la tournure d’une pandémie. Tout le monde ou presque va devenir un rhinocéros. Il est absurde qu’une telle maladie puisse décimer la masse populeuse. Ce phénomène de masse du a une épidémie est justifiable, mais sans sens. Comparons cette situation avec les réseaux sociaux. Les gens rejoignent leurs amis, qui ceux-ci avaient rejoignent leurs amis. Tous sont en réseaux pour leurs amis, donc il fallut qu’une personne s’inscrive pour que par la suite tous le suivent. Personne n’est là sans raison. Tous les gens sont concernés c’est le fait de la massification.

Deuxièmement, la massification de la forme faite par l’absurde. D’abord, les dialogues de plusieurs personnages qui ne sont pas dans la même conversation se chevauchent. « L’épicière : J’ai un autre chat, pour vous. Jean : Moi? Vous osez prétendre que je dis des sottises. La ménagère : Je n’en veux pas d’autre Bérenger : Oui, parfaitement, des sottises. » (Page 48). Il est complexe de prendre part à deux discussions différentes en même temps. En littérature c’est