Rhinos
Les formes diverses et changeantes de la répression de 1945 à 1945, selon les régions, vont dans le sens d’un alourdissement de celle-ci, reflet et cause à la fois du poids croissant de la résistance et de l’évolution du régime de Vichy et des autorités d’occupations. Ce devoir portera sur l’étude du « processus de la répression de la résistance de 1940 à 1945 ». La répression est une force policière opposée à la résistance, regroupement d’individus jugés dangereux par le gouvernement. Ce sont des actes ne s’exerce pas dans le cadre de la légalité républicaine, car c’est une violence sans mesure qui s’appuie sur une parodie de justice. La répression débutera à l’issue de l’armistice et ensuite augmentera avec l’augmentation de la résistance. Elle se déroulera en France, dans un premier temps dans la zone occupé puis dans toutes la France, incluant dernièrement l’Italie en plus de l’Allemagne. C’est pour cela que nous nous demanderons pourquoi la répression n’a pas empêcher la résistance de se développer ? Afin de répondre à cette problématique, nous ferons dans un premier temps un point sur la nature et les formes de répression en France ainsi que leurs évolutions chronologique. Puis nous étudierons l’attitude des résistants face à cette répression. Enfin, nous ferons un bilan de cette répression ainsi qu’une synthèse sur les enseignements de l’histoire que l’on peut tirés de nos jours.
I- Nature et forme de la répression et son évolution chronologique 1. De juin 1040 à juin 1941
a) Conséquences de l’armistice
o 2O juin 40 : Pétain signe l’armistice avec l’Allemagne nazie à Rethondes. La guerre a pris fin, mais l’Alsace-Lorraine est annexée au Reich et les trois cinquième du territoire sont occupés et séparé de la « zone libre » par la ligne de démarcation dont le franchissement du bon vouloir des autorités allemandes. On trouve deux acteurs