Rien
Les sports d'endurance, sans efforts violents, tels la marche, le vélo, contribuent à la santé sur de nombreux points autant qu'à préserver la minceur.
1. Le coeur.
L'activité physique augmente la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, donc améliore la circulation du sang et réduit le cholestérol, ainsi élimine partiellement les risques cardiaques et d'accident vasculaire cérébral, l'hypertension, l'arthérosclérose. 2. Les articulations.
Deviennent plus souples. Le risque de chute est réduit. L'activité physique combat l'arthrose et les rhumatismes. Le risque de lombalgie est réduit. 3. Les os.
Le sport et plus spécialement la course à pied entretiennent la densité des os et combat l'ostéoporose. 4. Les poumons.
Certaines maladies sont combattues par l'exercice respiratoire. 5. Le système digestif.
Le transit intestinal se trouve augmenté et le risque de cancer colorectal réduit. 6. Le système immunitaire.
Il est stimulé par l'activité physique. 7. Le pancréas, les reins.
Plusieurs affections sont en risque réduit, notamment les calculs et le diabète.
En outre, chez la femme, la probabilité de cancer du sein est également réduite.
Conclusion
Une activité physique modérée mais fréquente accompagnée d'un régime sain, tel que conseillé par ailleurs sur ce site forment deux facteurs essentiels de bonne santé.
Exemple : n général, l'attention est immédiatement attirée sur le muscle incriminé. Lors d'une action brutale, une accélération, un shoot, le sportif ressent une douleur associée ou non à un claquement dans la cuisse ou le mollet l'obligeant à arrêter l'effort voire provoquant la chute.
Dans les suites immédiates, l'appui au sol peut être douloureux voire impossible. Il faut alors impérativement empêcher le sportif de reprendre l'effort car une aggravation des lésions est possible.
Dans un second temps, la région incriminée peut gonfler et une ecchymose peut apparaître.