Robespierre et Camus
Les arguments qu'opposent Robespierre et Camus sont fort opposés aux partisans de la peine de mort. En effet, Robespierre veut "prouver que la peine de mort est essentiellement injuste" mais aussi que non seulement les tueurs sont tués, mais ces tueurs ne sont autres que la justice, alors elle-même criminelle. Il veut prouver que la peine de mort est un acte barbare, que celui qui est au pouvoir est un monstre, que la justice met en scène des actes de mort. Robespierre assure que cette peine ne sert à rien en comparant les autres "pays libres" où les crimes se font plus rares, les idées libres, "où les droits de l'homme sont respectés" Il veut prouver que la peine de mort est un acte barbare, que celui qui est au pouvoir est un monstre, que la justice met en scène des actes de mort. Robespierre assure que cette peine ne sert à rien puisque d'autres "pays libres" où les crimes se font plus rares, les idées sont libres, "où les droits de l'homme sont respectés" n'ont pas cette punition mais où les règles sont toujours autant respectées donc il souhaite que la "peine de mort soit abrogée". Il veut donc nous-mêmes nous rendre coupables puisque nous sommes "les partisans de la peine de mort".
Camus aussi, par ce texte, dénonce cette pratique inhumaine violant les droits de l'homme. Il décrit la peine de mort comme un assassinat, comme un meurtre odieux. Il veut montrer dans ce texte que cet honnête homme protégé par la loi venu voir faire la justice a seulement vomi montrant ainsi l’atrocité, le bouleversement de la punition . Il veut montrer dans ce texte que cet honnête homme protégé par la loi, venu voir faire la justice a vomi en voyant l’atrocité de la punition ainsi il dénonce que cette paix au sein des cités n'ai autre que grâce un châtiment intolérable.
A eux deux, ils expriment une même pensée : dénoncer de manière différente mais pertinente, la peine de mort n'est