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Quelle est la thèse proposée de Rousseau ? Quelle est la thèse réfutée de Rousseau ?

La thèse proposée de Rousseau est la « la lecture est le fléau de l’enfance »(l-1) c’est à dire que c’est une grande calamité pour nos enfants d’apprendre à lire. Et « la seule occupation qu’on lui sait donner »(l-1-2) et donc la principale activité des enfants c’est d’apprendre à lire.
« Mais il faut bien au moins dira-t-on qu’il sache lire »(l-3), il est obligatoire et essentiel que l’enfant sache lire. Car « la lecture lui est utile »(l-4). « Ils ne peuvent rien apprendre dont il ne sentent l’avantage actuel et présent »(l-6-7), l’enfant porte de l’intérêt à la lecture si il s’aperçoit quelle lui sera très utile au moment même. « Quelle motif les porterait à l’apprendre »(l-8) sinon si l’apprentissage de la lecture n’a point d’intérêt ils n’auront aucun goût à la lecture. « un art dont l’utilité peut être rendu à tous les âges »(l-10-11), il n’y a pas d’âges pour aimer la lecture ou pour apprendre à lire. « Faites que cet instrument serve à ses plaisirs, et bientôt il s’y appliquera malgré vous »(l-15-16), si on apprend la lecture à un enfant de manière plus ludique, agréable et non comme une corvée, naturellement elle lui semblera plus facile et amusante. « un moyen (…) est le désir d’apprendre »(l-20-21) : il faut donner l’envie d’apprendre à l’enfant, et donner la petite étincelle qui lui donnera le désir d’apprendre. « Donnez à l’enfant ce désir »(l-22), tout simplement, il faut savoir trouver comment lui donner l’envie de lire à l’enfant. « l’intérêt présent »(l-24), lui montrer au quotidien l’emploi , l’intérêt de savoir lire.

La thèse réfutée de Rousseau, est « la seule occupation qu’on lui sait donner »(l-1-2) et donc la principale activité des enfants c’est d’apprendre à lire, dès son plus jeune âge. « elle n’est bonne qu’à l’ennuyer »(l-45), l’enfant n’à aucun désir d’apprendre à lire, cela l’ennui. « Si l’on ne doit rien exiger l’enfant