Récit au passé
Présence d’un récit encadré
Récit - cadre : narrateur omniscient
Récit - encadré : narrateur interne
20 à 30 lignes
Sujet au choix

Le fond du puits était ouvert. Sur la plate-forme, l’équipe de pointe était prête à descendre. Elle comprenait Nicolas , Tony et Achot et sa caméra sans film . Achot, qui se sentait très fatigué, avait cédé sa place à Nicolas . La présence d’un médecin risquait d’ailleurs d’être utile.
Tony étant le plus jeune sollicita et obtint la faveur de descendre le premier. Il était vêtu d’une combinaison chauffante, couleur citron, botté de feutre gris et coiffé à la Brad Pitt. Un thermomètre explorateur avait révélé à l’intérieur une température de moins de 37°. Il portait une lampe frontale, un masque à oxygène et à la ceinture un revolver .
Une échelle métallique, qui ferait office d’antenne, était fixée au bord du puits et pendait dans l’inconnu. Tony mit son casque et s’engagea. On le vit disparaître dans la lumière d’or, puis dans le noir.
- J’ai pied ! Il y a un plancher
- J’y vais ! dit Nicolas .
Il ajusta son masque et descendit. Nicolas, en souriant, braquait sur lui sa caméra. J’étais debout sur le plancher d’or, dans la pièce ronde et vide. Une poussière légère étirait ses voiles le long du mur d’or circulaire creusé de milliers d’alvéoles qui semblaient faits pour contenir quelque chose et ne contenaient rien.
Les autres descendaient, regardaient, et se taisaient. La poussière presque invisible estompait le faisceau des lampes frontales, et ourlait d’une auréole nos silhouettes masquées. Puis tout a coup j’entendis un bruit étrange venant du fond du puits , je senti la chaleur monté , et je vis une flamme remonté , moi et mon équipe nous nous métâmes vite a l’abri ,dans un rebord du puits qui nous avaient permis de nous en sortir sain et sauf . Je sorti ma tête pour regarder si il n’y avait pas de danger , c’est que un dragon me frôla la tête , nous avions réveiller la bête ,