L’œuvre de Zola
Publiée en 1886, (14ème volume de la série les Rougon-Macquart)
L’ouvrage nous entraine dans le monde de l’art et des artistes à travers le portrait d’un peintre maudit, Claude Lentier (personnage évoquant Paul Cézanne).
Résumé chapitre I (29 à 52)
Un soir d’orage, au mois de juillet, alors qu’il rentre dans son atelier, Claude découvre une jeune fille sous le porche. Elle lui demande l’hospitalité, lui expliquant qu’elle se retrouve seule et perdue dans Paris. Elle vient de Province et se rendait à l’origine à Passy pour être lectrice chez une vieille dame. Un problème lié à la circulation des trains l’en a empêchée. Il est d’abord étonné et ne croit pas à cette histoire, mais il accepte finalement d’héberger la jeune fille et lui laisse son lit.
Le lendemain matin, lorsqu’il se réveille après une mauvaise nuit liée à la présence de la jeune femme dans son atelier, il la découvre à moitié dénudée (il fait très chaud). Attendrit et étonnée par sa fraicheur et sa candeur, il entreprend son portrait au pastel. Ce portrait n’est pas terminé lorsqu’elle se réveille et elle se montre opposée à ce travail. Elle finit cependant par laisser le peintre terminer son travail.
Le peintre et la jeune femme conversent et elle lui donne les détails de ses mésaventures de la veille. Elle se nomme Christine. Une certaine complicité d’installe entre eux. Puis la jeune femme décide de rejoindre Passy, le peintre tente de la retenir, au moins pour le déjeuner, lui propose de la raccompagner sur un bout de chemin mais Christine refuse et le laisse seul dans son atelier. Il éprouve à la fois de la colère et de la déception.
Chapitre II (53 à 79)
Midi vient de sonner lorsque les meilleurs amis de Claude, Pierre Sandoz arrive à l’atelier. Il sert de modèle au peintre pour réduire les frais de ce dernier. Les deux amis sont heureux ensemble et ils parlent beaucoup pendant que l’un travaille et l’autre pose. Ils se connaissent depuis l’enfance et se rappellent leurs