La situation initiale montre un coiffeur et son assistante dans leur salon de coiffure. Ils reçoivent un premier client, puis un second, vient ensuite une cliente habituée et enfin un dernier client
Dans le même immeuble que le salon de coiffure, habite la propriétaire de l’immeuble qui est une ancienne grande pianiste. Quand elle joue du piano sa musique se diffuse dans le salon de coiffure mais elle n’est pas du tout apprécié par le coiffeur.
Mr. Canard (coiffeur et le gérant du salon) habite également dans cet immeuble. Exaspérer par la musique de sa propriétaire il décide de monter la voir pour lui demander d’arrêter de jouer. Pendant ce temps-là un des clients va aux toilettes, l’assistante sort vider la poubelle et le public la voit mette une paire de ciseaux dedans. La cliente habituée est donc seul sous sa machine à bigoudi. Le client qui était aux toilettes revient avec une main en sang. Arrive ensuite M. Canard qui dit être allé éteindre son four car sa dinde était en train de bruler (il prépare une fête pour ce soir) on entend le cri de l’assistante et quand elle rentre dans le salon elle dit avoir trouvé le cadavre de la pianiste. Au même moment rentrent les deux anciens clients qui étaient en réalité des policiers en civil ; c’est ce moment-là que la pièce devient interactive. Les policiers interrogent les spectateurs et ils veulent faire une reconstitution précise de tout ce qui s’est passé avec l’aide du public.
Durant l’entracte, le policier étais sorti devant le théâtre et a demander au spectateur de réfléchir a des questions que l’on pourra poser au suspect pour déterminer lequel d’entre eux est le coupable.
Reprise de la pièce, après les échanges et la reconstitutions par le public, les policiers demandent de voter a main levé pour la personne qui pourrait être le coupable. A la fin du vote il y a une majorité de voies contre le coiffeur M. Canard. Celui-ci avoue son crime mais certaines incohérence laissent penser que la cliente habitué