Lors d'une parade militaire à Paris (place de Clichy) en 1914, Bardamu envoûté par la musique décide de s'engager dans l'armée (sur un « coup de tête »). Mais il regrette vite son choix devant l’horreur de la guerre. Pour lui, la guerre est absurde. Il ne comprend pas pourquoi ils se battent. Il se rend compte de sa lâcheté. On découvre l'enfer des tranchés (exemple : le manque de nourriture et humiliation hiérarchique). (Son colonel meurt sous ses yeux et personne ne s'en inquiète). Lors d'un soir, Bardamu est envoyé pour une mission de reconnaissance et il fait la rencontre d'un réserviste nommé Robinson avec lequel il va se lié d'amitié. Ils cherchent tout deux à déserter (mais ils échouent). Blessé, Bardamu quitte le front pour aller se faire soigner dans différents hôpitaux et devient réformé. Puis quelques temps après, il reçu une médaille militaire. Il rencontra une jeune infirmière américaine, Lola. Lola le quitte, le qualifiant de lâche du fait qu'il ne voulait pas retourner à la guerre, il en avait peur de la guerre. Il rencontre une jeune violoniste qui s'appelle Musyne. Elle le quitte à son tour. Bardamu guéri, il décide donc de s'en aller pour Afrique. Dans le bateau, Bardamu, à la limite d'être chassé, joue la carte du patriotisme pour s'en sortir. Une fois en Afrique, à Bambola-Fort-Gono, Bardamu descend discrètement du navire. Il y découvre là-bas l'exploitation coloniale (cela lui rappel la guerre). Il y retrouve et remplace Robinson dans un comptoir commercial. Bardamu est atteint par la malaria et à des crises de folie qui le mènerons à mettre le feu à son comptoir. Il est ensuite capturé par des indigènes à San Tapeta qui le vendent comme esclave dans une galère. Une fois la galère arrivé sur la côte américaine, Bardamu s'échappe. Et trouve un autre travail : « agent compte-puce ». Il est ensuite muté à New York où il va s'enfuir à nouveau. Il retrouve Lola et lui soutire 100$. Bardamu part ensuite pour Détroit et trouve un emploi dans une usine