Première partie :

L’action se déroule à Alger et aux alentours. Meursault est le personnage principal mais également le narrateur, le point de vue du récit est omniscient. C’est un jeune employé de bureau vivant à Alger. Le récit débute le jour de la mort de sa mère. Il reçoit un télégramme de l’asile pour lui annoncer le décès de sa mère. Les premières phrases du livre sont brutales puisque les faits sont annoncés sans atténuation : «Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je sais pas.» Le narrateur arrive à obtenir un congé de 48h, il raconte la veillée, ou les proches de sa mère sont présents. Meursault se sent mal à l’aise et a l’étrange impression qu’ils sont là pour le juger. Lors de l’enterrement, Meursault ne pleure pas, il se montre vide de sentiments, il n’attend qu’un chose c’est de rentrer chez lui, à Alger.

Il retrouve Marie, une ancienne collègue, et se rapproche d’elle. Le soir même, ils vont voir un film, elle passe la nuit chez lui. Le lendemain matin, Meursault passe sa matinée à fumer des cigarettes, il déjeune, et passe son après-midi à regarder les gens défilé par sa fenêtre.

En rentrant du travail, Meursault croise son voisin âgé Salamano, qui injurie son chien, comme tous les jours. Raymond Sintès, son autre voisin, l’invite à venir manger chez lui. L’homme se confie alors à Meursault, expliquant sa blessure à la main : Il s’est battu avec le frère de la femme qu’il fréquentait, il demande alors à Meursault de rédiger une lettre pour cette femme, en lui disant de revenir pour en réalité, l’humilier. Il éprouve de la haine envers cette femme car il y a des histoires de «tromperie». Raymond est alors satisfait de son voisin et le considère comme un «copain».

Après avoir travaillé toute la semaine, Meursault se promène avec Marie, samedi, sur la plage d’Alger. ils reviennent ensuite déjeuner chez lui lorsqu’ils entendent des bruits chez le voisin, Raymond. Raymond bat la femme dont il avait parlé à Meursault, celle-ci