Secret decouvert
Plus de 60 ans ont passé, et pourtant des cinéastes français sont encore aux prises avec leur pays de moins de rôles héroïques sous l'occupation nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Film obsédant de Claude Miller, basé sur un roman de Philippe Grimbert, est appelé « Un secret ». Mais l'essentiel de cette histoire de la tragédie de répression et de la famille, c'est que les secrets sont rarement singuliers. Ce qui est caché de la vue et exclut de la discussion a tendance à se multiplier et se développer. Suivant scrupuleusement la voie tracée par M. Grimbert, un psychanalyste français qui a basé son livre sur l'histoire de sa famille, M. Miller propose de résoudre les mystères et les ambiguïtés. Pourtant, alors même que des questions factuelles sont traitées, et la curiosité de base des deux le public et le personnage principal est satisfait, « Un Secret », laisse en place le sentiment que quelque chose de terriblement étrange et magnifiquement peut mentir sous la surface de l'expérience ordinaire. Le film complexe, dans lequel le passé, tourné en couleur, est plus vif que le présent en noir et blanc, suit le destin d'une famille juive française dans les années 1930 d'avant-guerre, l'occupation allemande et les décennies après la libération. La gamme de concentration est peu profonde, l'imagerie d'un lavage terne en noir et blanc. Ah! Ce doit être un flash-back, nous figurons. Mais comment se fait les scènes en couleur sont de plus de 30 ans avant? Et comment est-il que les détails de ces scènes semblent en quelque sorte plus palpable et plus exacte? Quoi que «maintenant» signifie, il devra être un produit de la mémoire et la perspective confuse. Un sentiment semblable plane autour d'étrangeté jeune François Grimbert (pour quelques raisons Miller a changées de nom de Philippe), comme il grandit à Paris dans les années 1950. Joué comme un jeune garçon par Valentin Vigourt et comme un adolescent par Quentin