Sensorimotricité
Travail beaucoup au niveau corporel. Grille de lecture que l’on peut avoir en tête même pour des adultes : modèle qui nous aide à comprendre comment fonctionne la personne handicapé.
I. Développement sensorimoteur : quelques notions théoriques
Notion de sensori-motricité : deux aspects : sensori et moteur
Capacités sensorielles : cela touche plusieurs systèmes sensoriels (vestibulaire, gustatifs, olfactif, tactile, visuel et auditif) important de considérer la sensibilité profonde (on est plutôt sur le mode du tactile, on a ce qui est du superficiel effleurement…, profonde c le système osseux avec des vibrations, pressions). Quand on articule sensibilité profonde et superficielle on construit la proprioception qui sert à situer notre corps dans l’espace. Besoin des deux infos superficielle et profonde. Cela concerne la peau mais aussi l’os.
Moteur : Capacités motrices : état tonique, mouvement et postures : motricité d’effection qui a un effet sur le milieu physique (écrire, se nourrir..) et motricité de relation qui modifie le milieu humain (comment le corps s’exprime dans la relation à l’autre).
Capacités sensorielles : les différents flux auquel l’organisme est sensible : flux (gravitaire (l’oreille interne), tactile (la peau), olfactif (le nez), auditif (oreilles), visuel (les yeux).
Flux=stimulations que l’on va recevoir sur notre corps. Personnes handicapées souvent très sensibles. Quand on reçoit un flux qui nous arrive sur l’organisme (différent du corps c le physiologique l’organisme c tout ce qui fait que matériellement on est là, le corps il y a une idée de représentation) on est en état d’alerte puis après on va s’orienter vers le bruit, évaluer à quelle distance il est puis la phase d’exploration, c’est-à-dire qu’est ce que je fais par rapport à cette stimulation. Souvent chez la personne handicapée, ces 4 phases ne sont pas toutes présentes : la phase d’alerte est présente et même réagit très fort, ce qui devient