Le sentiment du beau pris en tant qu'expérience esthétique ne saurait exister en dehors d'un rapport de sujet à objet, le regard - pris au sens large de considération, perception - est donc fondamental. D'une certaine manière, la citation précise ce rapport en assurant que ce sentiment ne peut naître si nous considérons, regardons l'objet comme quelque chose susceptible de servir à quelque chose.
Des choses intéressantes ont été dites plus haut, mais la nouvelle discussion n'avait pas encore été collée à l'ancienne lorsque j'ai répondu. Je serais tenté cependant de distinguer servir à et être utile à. Un objet qui sert est subordonné à quelque chose de plus important que lui, il n'est qu'un moyen permettant d'y parvenir, tandis qu'un objet utile ne me semble en rien subordonné, mais au contraire d'autant plus importantLe sentiment du beau pris en tant qu'expérience esthétique ne saurait exister en dehors d'un rapport de sujet à objet, le regard - pris au sens large de considération, perception - est donc fondamental. D'une certaine manière, la citation précise ce rapport en assurant que ce sentiment ne peut naître si nous considérons, regardons l'objet comme quelque chose susceptible de servir à quelque chose.
Des choses intéressantes ont été dites plus haut, mais la nouvelle discussion n'avait pas encore été collée à l'ancienne lorsque j'ai répondu. Je serais tenté cependant de distinguer servir à et être utile à. Un objet qui sert est subordonné à quelque chose de plus important que lui, il n'est qu'un moyen permettant d'y parvenir, tandis qu'un objet utile ne me semble en rien subordonné, mais au contraire d'autant plus important Le sentiment du beau pris en tant qu'expérience esthétique ne saurait exister en dehors d'un rapport de sujet à objet, le regard - pris au sens large de considération, perception - est donc fondamental. D'une certaine manière, la citation précise ce rapport en assurant que ce sentiment ne peut naître si nous considérons, regardons