a) Les deux villes, l’une décrite par Guy de Maupassant nommée Le Creusot et la seconde désignée Cokeville par Charles Dickens, surlignent l’effet de la révolution industrielle. Nous y retrouvons une description parfaite de l’industrialisation des villes durant la fin du XIXeme siècle. L’atmosphere accablante qui englobe ces villes ainsi que la pollution exagérée sont mentionnées d’une part dans Le Creusot ( ‘‘ un nuage s’éleve, tout noir, opaque, qui semble monter de la terre… C’est la fumée du Creusot ’’ et d’une autre part dans Cokeville (‘‘ La fumée et les cendres ’’). La saleté des villes chez les ouvriers est soulignée dans les paroles des deux auteurs (‘‘Les maisons sont noires comme frottées de suie, les paves sont noirs…’’ et ‘‘ de briques qui eussent été rouge si la fumée et les cendres l’avaient permis’’). Ainsi, le chaos extravagant des villes est aussi mis en valeur dans les deux documents écrits (‘‘ un bruit fait de milles bruits ’’ et ‘‘des gens qui faisaient résonner les meme paves sous le meme pas’’). Dans les deux photographies/images, les deux villes sont semblables : Les plateaux d’usines sont surmontés d’immense cheminés qui dégagent des ‘‘serpents de fumée’’.
b) L’argument libéral dit que l’intervention du gouvernement en faveur d’un groupe spécifique serait nuisible à la société. Tout au long de cette entrevue, Schneider défend cet argument libéral en 1856. En effet, l’état voudrait qu’il y ait une égalité de salaire entre les femmes et les hommes. Les industriels remplacent les femmes par des hommes qui seront payés autant mais ayant des capacités physiques avantageuse. D’après le point de vue de Schneider, la non-intervention de l’état dans l’emploi des femmes et des enfants serait plus convenable car il aura plus de liberté à gérer son entreprise. Or dans ce cas, la non-intervention de l’état nuit a la situation des ouvriers car Schneider aura la liberté de gérer son entreprise à sa façon (salaires, heures de travail). Aussi, pour