sols
Les fiches légumes
On amène des bases (Ca et Mg) pour améliorer le fonctionnement du sol et pas pour faire changer son pH !
Même si parfois, un changement de pH apparaît, ce n’est pas notre objectif.
L’apport doit être raisonné en fonction de la présence ou pas de calcum dans le sol. Un simple test de terrain (à l’aide d’acide chlorhydrique , esprit de sel) nous donne une première indication : ça pétille, on ne doit pas chauler/ pas de réactions visibles ou audibles, on doit chauler.
Une analyse en labo permet de calculer la dose à apporter par rapport aux caractéristiques du sol et par rapport à son taux de saturation en calcium et magnésium.
Comment envisager
la gestion des sols
En fonction de ces résultats, on opte pour la forme d’amendement qui amène les meilleurs résultats : chaux magnésienne, gypse, dolomie, sulfate de calcium, …
Il faut également réfléchir aux format des matériaux utilisés : poudre ou agrégats plus importants.
Une chose est certaine, il ne faut jamais utiliser de chaux vive dans le sol !!
Adapter les pratiques aux types de sols
Sol sableux = faible capacité de mise en réserve
Apports fractionnés et en petites quantités. Sol limoneux = capacité de mise en réserve variable
Adaptation des pratiques en fonction de la capacité de mise en réserve et de la rotation.
Matières organiques à action rapide (ex : fiente) au printemps et matières organiques plus lentes en fin d’été.
Sol argileux = forte capacité de mise en réserve
Sol calcaire = prudence
Un seul apport possible mais attention aux conditions d’épandage et d’incorporation. Apports fractionnés, pour mieux stimuler le sol, qui doit fonctionner à plein régime pendant toute la saison de végétation.
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Matières organiques à action rapide (ex : fiente) au printemps et matières organiques plus lentes en fin d’été.
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Comment vérifier que l’usine fonctionne bien ?
Creuser (+/- 50 cm de profondeur, sauf si roche avant) et observer.
Bon
Pas bon
> Les