Sonnet a caliste
Sonnet à Caliste, Malherbe
I – Éloge de la femme, de la beauté
II – Éloge de l'écriture
Éloge de la femme, de la beauté
- « il n'est rien d'aussi beau » → excellent, supérieur (comparaison grammaticale)
- il démontre par le contraire avec la négation, la retenue
- La rime est « belle », la césure est « beau »
- première affirmation pour ouvrir le texte
- « grâces et appâts » → conclusion de sa beauté. Sa description entre vers 1 et 12
- rimes embrassées
- 3 échos sonores de « belle »
- cette beauté entraine une admiration « éblouit », « miracle visible », « trésors »
- reconnaissance d'une supériorité éthique
- éloge d'aspect général à précis
- v.3-4: ingratitude si nous ne rendons pas hommage
- Malherbe rend l'hommage qui est du à Caliste
- « nature » représente l'allégorie
- elle est l'auteur d'un chef d'œuvre ou l'art ne peut le décrire
- « Caliste » veut dire « la plus belle » ce qui inscrit le programme
- la beauté est un concept, le corps est stylisé
- Caliste est décrite de façon traditionnelle « teint clair », « rose », « yeux »
- elle devient une idole que l'on pourra adorer
- exercice de style qui ne fait pas exister Caliste mais qui travail le poème
- éloge de l'écriture de part l'éloge de la femme
Éloge de l'écriture
- Malherbe aurait pu s'adresser directement à la femme
- Pas de pronom de rappelle pour Caliste
- Evoquation de Caliste par ses parties du corps
- « œuvre » est Caliste qui est poétique
- Il s'agit de faire autant un bel exercice classique qu'un éloge
- il fait exister Caliste par le regard que porte l'auteur
- C'est un regard collectif qui fait exister Caliste avec le pronom « notre »
- « la fait reconnaitre », pronom complément « la ». Caliste n'est pas active
- Malherbe n'existe pas par un « je » mais par sa raison et ses sentiments
- Il propose un dialogue avec sa raison pour ne pas se livrer de part le texte
- chiasme sonore v.1 : « si Beau Comme Caliste est Belle »
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