St thomas d'acquin : croyances
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Commentaire du texte de Thomas d'Aquin Parmi les différents actes de l'intelligence (ou de l'esprit) dont parle Saint Thomas d'Aquin dans son texte, on en distingue trois sortes : Ceux qui ont « une ferme adhesion », A l'opposé, ceux qui ont la « cogitation », Et ceux qui ont à la fois une ferme adhésion et cependant continuent leur cogitation. Il s'agit des croyants, qui regroupent les deux autres caractères. L'esprit ou l'intelligence humaine veut trouver la vérité. La raison tend vers la vérité, mais risque de rencontrer la fausseté. Démarche rationnelle de l'Homme qui cherche la verité. Il peut se trouver dans diverses situations. Il ne s'agit pas de plusieurs formes de croyance mais plutôt de plusieurs situations dans lesquelles on peut se retrouver en cherchant la vérité. Acte de l'esprit : principe du tiers-exclu (pas de troisième valeur, seulement deux valeurs : vrai ou faux, la troisième valeur est le vraisemblable). L'acte de la croyance présente une différence avec les autres. En cherchant la vérité, parmi les actes de l'intelligence, il faut entendre les actes de l'esprit, ceux que l'on rencontre dans la dernière phrase. Parmi les acte de l'intelligence : cogitation à l'opposé de l'acte de l'intelligence. Croyance paradoxale : ferme adhésion et en même temps cogitation alors que dans les autres il n'y a pas les deux. Les actes de l'esprit quand on cherche la vérité peuvent se trouver dans deux situations avec adhésion ferme et pas de cogitation et trois situations où il y a cogitation ou réflexion mais pas d'adhésion. Mais toujours pas les deux ensembles. Les deux ensembles forment la croyance. Adhésion ferme : quand on adhère fermement à une proposition légitimée par deux choses : intelligence = intuition, faculté de l'esprit qui perçoit les évidences. Face à une évidence : Adhésion ferme. Évidence : elle ne peut pas être subjective (terme à definir), proposition qui est