En 1985, le macintosh n’est pas vendu autant que prévu et l’Apple II continue de générer plus de la moitié des ressources de la firme. Apple va alors se réorganiser en licenciant 20% des employés (soit environ 1200 personnes) et en avril 1985, le conseil d’administration décide d’écarter Steve Jobs des postes de décisions importantes. Quelques mois plus tard, ce dernier décide de quitter Apple pour fonder sa propre compagnie : Next Inc. rejoint par quelques employés d’Apple.
En 1987, arrive le Macintosh II (voir photo) et en 1989 est crée le premier portable de la firme, le Macintosh Portable. Cette même année, Apple devient l’une des 100 premières entreprises à se créer un nom de domaine .com. La marque à la pomme a tenté de s’implanter dans les entreprises et de faire face à son concurrent principal de l’époque : IBM, en lançant Macintosh Office qui permettait une meilleure mise en réseau.

Un Macintosh II
La concurrence au niveau des PC se faisant de plus en plus grande, Apple décide de lancer plusieurs modèles consécutivement : les Macintosh LC, Quadra et Centris. Cependant, la commercialisation de ces produits n’a pas été bonne car trop de modèles étaient sur les catalogues sans forcément montrer de grandes différences ce qui a provoqué l’incompréhension chez certains consommateurs.
En octobre 1991, Apple décide de s’étendre sur le marché des ordinateurs portables en lançant le PowerBook. La position du clavier et de la souris sont une innovation important par rapport aux PC de l’époque et sera repris par la plupart des autres ordinateurs portables. L’un des premiers PowerBook
Toujours en 1991, la firme décide de s’allier avec l’un de ses concurrents d’autrefois à savoir IBM, et avec Motorola. Ces trois entreprises forment l’alliance AIM qui a pour but de développer un nouveau type de micro-processeur autour de l’architecture : PowerPC.
Les premiers Macintosh utilisant cette technologie sont lancés en 1994.
Cependant, malgré cela, Intel et