Sujet de réflexion : La mère du héros parait elle toujours être une bonne mère ?
I – Introduction : Dans le roman « La Promesse de l’aube » le narrateur- auteur Romain Gary nous parle le plus souvent de sa mère en mettant en avant son amour maternel qu’elle lui a toujours apporté. Nina vivait pour son fils, elle l’aimait, le protégeait et lui traçait un avenir. Mais agissait-elle toujours de la bonne manière avec son fils ? L’auteur a écrit ce livre en sa mémoire mais a-t-elle toujours été une bonne mère ?
C’est la question à laquelle je vais répondre en commençant par une première partie qui traitera les bons points de l’éducation de Romain par sa mère, avant de m’intéresser à ses défauts dans une seconde partie.

II – Première partie : les bons points
Premièrement, Nina était une mère dévouée qui s’occupait toujours du bien être de Romain. Elle se démenait pour lui offrir le meilleur quelque soit la situation, c’était une femme solitaire et sans mari mais qui était courageuse et travaillait durement.
Exemple : Quand Romain est élève au lycée de Nice et qu’il nous raconte que les temps étaient durs et que sa mère luttait pour gagner ce qu’il leur fallait pour vivre. Dans ce même chapitre, il nous raconte que Nina allait jusqu’à se priver pour qu’il puisse avoir un bifteck dans son assiette chaque midi.

Deuxièmement, la mère de l’auteur portait une attention particulière à son éducation qui est qualifiée dans le roman d’éducation « princière ».
Exemple : A Wilno quand les affaires de la « Maison de haute couture » marchent bien, Nina consacre la majorité des bénéfices pour que Romain puisse recevoir de nombreux enseignements tels que la danse, l’équitation, le tire à la carabine… Il acquit même une gouvernante pour veiller à son bien être.

Enfin, le fait que Nina traçait une vie pour Romain n’était pas qu’une mauvaise chose. Elle croyait en un destin extraordinaire pour son fils c’est certainement d’ailleurs son ambition qui a aidé Romain à avoir une