Jusqu’ alors, je n’étais point familier aux différentes notions introduites dans ce genre antique qu’est la poésie. Né dans l’antiquité grecques, cet héritage que vous prouver considérer comme obsolète ne l’a pourtant pas empêcher de connaître de profond changement, sans aumetre pour autant son lyrisme incontournable. Tirant son origine de la lyre, le lyrisme consiste à exprimer ses sentiments privé par l‘intermédiaire d’un écrit. Et ces écrits furent nombreux, au oui nombreux, car de tout temps, la vie de l’homme est semée d’obstacle et de peine à surmonter. L’Amour par exemple est un exemple que je qualifierais d’adéquat pour justifier mon propos. Mais qu’est ce que l’amour véritable ? Ce sentiment délicieux nous procurant à la fois nos premiers émois, ainsi que nos premières peines de par la perte de l’être aimé. Bien qu’heureuse d’apparence, le créateur de l’expression l’habit ne fait pas le moine aura fort à faire. Tout homme, même les poètes ayant une grande popularité ont dans leurs vies subites des douleurs effroyables. Ces derniers cherchent à travers leurs écrits à transmettre leurs chagrins et cherchent à apporter les réponses aux questions de la vie, et souhaite aider l’humanité à surmonter les pires maux de la vie. Peu de personne ont pu à travers leurs poèmes exprimer leurs effroi vis à vis de cette souffrance, et de même exprimer le profond amour qui les fait ce sentir vivant.

Je vous raconterai tout d’abords l’histoire d’un homme dont la vie fut rythmée par ces différentes épouses. Pierre de Ronsard obtint dans sa vie l’amour de plusieurs femmes, dans lesquelles se trouve une paysanne du nom de Marie Dupin. Ce membre de la Pléiade, abandonna ces idéaux et entrepris une vie heureuse avec son amour, jusqu’à ce que son amour lui soit repris. Dans le second livre de son recueil « les Amours », le ton grave de la mort et omniprésent et Ronsard nous raconte la douleur de sa séparation. Malgré le ton grave de la mort, c'est la joie d'aimer et