Limeri Laurie
BTS AG2

Le passage à l’âge adulte se fait de plus en plus tardivement depuis la fin des années 80.
Cette situation est le résultat d’accumulation de nombreux phénomène de société. Ces phénomènes seraient t-ils responsable de la disparition des étapes classiques de l’accession à l’âge adulte ?
Ce dossier fait le constat des changements considérable qui sont intervenus et qui ont donnés naissance à d’étranges étapes comme « la post adolescence »

En effet, les jeunes d’aujourd’hui sont confrontés à une altération des rites d’entrée dans la vie adulte, comme nous l’explique le sociologue André Béjin, dans son essai De l’adolescence à la post-adolescence. La précarité de l’emploi joue un rôle majeur dans cette altération étant donné que dans la conjoncture actuelle, l’obtention d’un emploi stable à la fin de son cycle d’étude soit devenu quasi impensable et l’accumulation de petit boulots un passage long et inévitable dans la vie des jeunes , comme le démontre François Dubet, sociologue français, dans son interview Les tâtonnements vers l’âge adulte, parut en aout 1993, dans le journal français Libération, au point que – 69 % des jeunes de 20 ans occupent un emploi stable, comme l’indique l’enquête « jeune » de L’INSEE , la situation du jeune de 20 ans, en 1983 et en 1992. Le sentiment que le diplôme garantie un emploi sur et stable est toujours d’actualité, ce qui explique l’allongement du taux de scolarisation, remarque André Bejin. Ont parle également « d’études-parking », car les jeunes, pour palier a l’inactivité et au chômage, préfèrent prolonger leurs études, comme nous le dit François Dubet, ce qui explique que plus de 114 % des jeunes de 20 ans sont encore scolaires ou étudiants, selon l’enquête de l’INSEE. On assiste alors à une véritable mutation du passage à la vie adule, autrefois, si organisé. Un vent de liberté souffle sur les jeunes d’aujourd’hui, qui préfèrent multipliés les expériences amoureuses et professionnelles,