Qui n’a jamais été retissent à la dite beauté d’une peinture ? Pourquoi sommes-nous plus attirés par certaines œuvres d’art plus que d’autres ? Qui décident de cette appellation et que définit-elle ? Toujours aujourd’hui, ce sont des questions qui se posent en classe ou même par un quelconque amateur d’art. Pour répondre à ces dernières, il est nécessaire de s’intéresser à l’Histoire. Tout d’abord, la Renaissance (XVe – XVIe siècle) marque en Europe, une rupture avec un ordre médiéval qui prônait majoritairement l’orthodoxie de l’Eglise. Une réelle révolution esthétique s’installe alors, en peinture. En effet, contrairement aux artistes médiévaux, la tendance des contemporains est à représenter le monde visible tel qu’il leur apparaît, selon des critères techniques bien précis. Ainsi, ils tentent (les artistes) de codifier des techniques tel la perspective ou encore, la représentation fidèle. Bien qu’ils tentent de magnifier la nature, ils se prétendent et se définissent réalistes. Cependant, de l’absence de réelle fixation scientifique quant à ces dites techniques, de nombreuses différences vont apparaitre desquelles deux accents au terme de réalisme vont découler.
Certains artistes pratiquent un réalisme intégristes, c’est-à-dire qu’ils représentaient la nature tel qu’elle est visible, tant ses défaut que ses qualités. Tandis que les autres prônent le réalisme idéalisé qui induit des représentations de la réalité plus magnifiées, presque plus belle que la nature elle-même. C’est cette dernière tendance qui avec le soutient de l’Académie finit par dominer. Le XVIIe siècle, en France est le siècle classique par excellence porté par le roi Soleil, Louis XIV. A son image, l’art y sera noble et prestigieux. Contrairement aux siècles précédents, l’art devient une expression codifiées tant au niveau de la valeur d’un tableau mais aussi sur sa technique. En effet, « un corps de doctrine propose aux artistes et à