Synthèse du corpus Au fil des années, nous pouvons noter une accélération constante de la vitesse à laquelle nous faisons les choses. C’est de ce sujet que parle le corpus composé d’une affiche publicitaire de la SNCF parue en 2017, un article de Christophe RYMARSKI intitulé « Ralentir, et vite ! » et paru dans Sciences Humaines en juillet 2012, un essai d’ALAIN intitulé Propos sur le bonheur et écrit en 1928 et un extrait du roman Carénage écrit par Sylvain COHER en 2011. On peut s’interroger sur la perception que l’Homme a de la vitesse. D’abord nous verrons ce qu’est la vitesse et son inverse puis les raisons et les limites de cette dernière. Tout d’abord, il faut savoir définir ce …afficher plus de contenu…

En effet, de plus en plus de personnes ressentent le besoin de ralentir. C’est ce qu’évoque l’article de la …afficher plus de contenu…

En effet, l’une des raisons pour laquelle certaines personnes cherchent à aller toujours plus vite et pour le plaisir. La vitesse est vue ici comme un sentiment de bien-être. Par exemple, on peut observer le plaisir de se déplacer, chez ALAIN qui décrit le bien-être des passagers du train lorsqu’il observe les paysages défilés à grande vitesse. Les paysages sont décrits comme un album géographique sublime. Les passagers ont d’ailleurs le plaisir d’être bien assis dans des sièges confortables comme on peut l’observer sur l’affiche publicitaire où le voyageur est installé confortablement et prend le temps de lire son livre. La vitesse est aussi un sentiment de plaisir dans le roman de COHER où le motard ressent un sentiment de bonheur par la vitesse procurée par la moto. De plus, une autre raison principale de la vitesse est le gain de temps. ALAIN exprime le quart d’heure gagné en train