Synthése sur le tableau angélus et le désespéré
L'angélus est un tableau de Jean-François Millet. Il a été peint en 1858 et mesure soixante-six centimètre de longueur sur cinquante-cinq centimètre de hauteur. Pour réaliser cette œuvre, il a utilisé la peinture à l'huile. Ce tableau est à ce jour exposé au Musée d'Orsay à Paris. C'est une peinture réaliste de la vie quotidienne.
Son enfance lui inspirera cette représentation. Jean-François Millet a peint beaucoup de scène mural du genre de l'Angélus. Il glorifie l'esthétique de la paysannerie. Au moment où Millet peint ce tableau, les choses changent de ce coté. A la même époque, le peintre Daumier réalisa « Le Wagon de la troisième Classe ».
L'angélus est une œuvre qui se lit de gauche à droite. Au premier plan, on peut distinguer un paysan et une paysanne qui ont cessé de travailler pour prier « L'angélus ». Ils ont une allure immense. Eux seul sont les sujets de ce tableau. Leurs visages sont dans l'ombre. L'accent est mis sur leurs gestes. On aperçoit aussi de la terre et des pommes de terre. Une fourche, des outils de travail, une brouette et un panier. A l'arrière plan, un clocher sonne dans le lointain. Un champs se discerne à l'horizon. Le tiers supérieur du tableau est établi par le ciel. Le soleil se couche. La nuit va tombée.
Le jaune est la couleur dominante du tableau de Millet. Celui-ci est composé essentiellement de couleurs froides tel que : Le bleu, le vert ou encore le violet. Le ciel fait l'objet d'un effet de dégradé.
Cette œuvre est audacieuse. Pour ma part, cette représentation est importante car à cette époque ci les choses évoluent du coté des paysans. Les couleurs choisies m'apparaissent énigmatiques mais harmonieuses. Les critiques faites sur ce tableau sont variées.
Gustave Courbet, Le désespéré : Autoportrait (1843)
Le désespéré est un autoportrait de Gustave Courbet. Il a été peint en 1843 et mesure cinquante-quatre centimètre de longueur sur quarante-quatre centimètre