Texte de arendt

1016 mots 5 pages
Le futur proche qui s’offre à nous permet vraiment pour la première fois dans l’histoire de l’humanité d’imaginer « une fin du travail » (selon l’expression de J. Rifkin) de façon plus réaliste. La production automatisée rend vraisemblable la possibilité qu’une société puisse faire manufacturer l’ensemble de sa production de biens auprès de machines. Quelles seront les conséquences sociales d’une « libération » définitive du travail qu’induit l’automatisation de la production ? Il est ici exposé au travers de ces lignes que dans le contexte de la modernité la libération du travail n’est pas une bonne chose .Quelle sera alors l’évolution de la condition de l’homme au sein de la société ? Alors que celui-ci s’inscrit de plus en plus de façon consumériste ? Le labeur va t’il disparaitre au profit de l’automatisation ?

D’emblée l’auteure souligne clairement deux grandes idées. Dans un premier temps il est question d’automatisation c’est-à-dire d’une production faites à partir de machines et non plus d’hommes, celle-ci est complétée par le fait que le regard qui y est porté fut clairement une représentation d’une réalité sans défaut donc une utopie dont la proximité est grandissante. Tout l’objet de la réflexion ici est de comprendre si le « progrès de l’automatisation », qui était rêvé hier ne sera pas d’actualité demain, si la consommation ne sera pas seule restante et les labeurs et efforts fait seront vite oubliés alors que ceux-ci sont des éléments indissociables du moteur de la vie humaine et du cycle biologique. La suppression relative des efforts et de toutes les peines que l’homme à concéder depuis de nombreuses décennies serait alors perturbatrice d’un processus cyclique ici définit comme relatant de la biologie. En résultera dès lors une consommation démultipliée des biens de productions que l’automatisation aura permise. En somme les besoins seront satisfaits sans que les humains doivent s’échiner.

« Cependant cette utopie elle-même ne saurait

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