Texte Giddens

1039 mots 5 pages

TD Auteurs et textes
Groupe 1
Banul Lia
Texte №1. A. Giddens, ”Les conséquances de la modernité“.Paris, l`Harmattan 1994.

1.Qui est A. Gidddens ? Qu`a-t-il écrit? Anthony Giddens, né le 18 janvier 1938 à Londres, est un sociologue britannique et professeur de sociologie à l'université de Cambridge. Il est connu pour sa théorie sur la structuration et sa vision holistique des sociétés contemporaines. Il est considéré comme l'un des plus importants contributeurs au domaine de la sociologie contemporaine. L'ambition de Giddens est à la fois de refonder la théorie sociale et de réexaminer notre compréhension du développement et de la trajectoire de la modernité. Quelques ses publications :
(1971) Capitalism and Modern Social Theory
(1976) Functionalism: après la lutte
(1981) A Contemporary Critique of Historical Materialism
(1984) The Constitution of Society. Outline of the Theory of Structuration
(1994) Beyond Left and Right — the Future of Radical Politics
(1996) Durkheim on Politics and the State

2.Donnez une définition générale de la modernité. Selon Giddens, la modernité «désigne des modes de vie ou d`organisation sociale apparus en Europe vers le XVII siècle, et qui progressivement ont exercé une influеnce plus ou moins planétaire ». La modernité с'est un mode de civilisation caractéristique, qui s'oppose au mode de la tradition, c'est-à-dire à toutes les autres cultures antérieures ou traditionnelles : face à la diversité géographique et symbolique de celles-ci, la modernité s'impose comme une, homogène, irradiant mondialement à partir de l'Occident. Pourtant elle demeure une notion confuse, qui connote globalement toute une évolution historique et un changement de mentalité.

3.Pourquoi parle-t-on de post-modernité pour caractériser la période actuelle? Aujourd'hui dans la théorie politique il y a des houleux débat sur l'opportunité de la société actuelle d`appartenir à une ère de la modernité (contemporain), ou les changements

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Dans quelles conditions cette relation, pouvoir d’Etat et société civile serait elle possible voire souhaitable et souhaitée ? Comment cette articulation entre ces deux termes peut-elle être source de développement social et humain dans un continent où plus de la moitié de la population est durement frappée par la pauvreté et les fléaux de toutes sortes ? Pour apporter des réponses à ces questions posées, nous procéderons en deux étapes. Premièrement nous définirons les concepts de « société civile » et de « pouvoir d’Etat ». Quels sens peuvent-ils revêtir ?….

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Commencer par vous demander pourquoi on vous pose la question afin de déterminer le problème du sujet. Le terme de culture vient du latin colere qui signifie « mettre en valeur ». C’est pourquoi on utilise aussi bien ce terme pour parler d’un champ que l’on cultive que d’un esprit qui est cultivé. On oppose traditionnellement ce terme à celui de nature pour souligner que l’homme est un être de culture, un être qui s’est détaché de la nature et qui sans cesse transforme, modifie son environnement. En ce sens, si la culture est une caractéristique fondamentale de l’être humain, on peut dire que la culture est universelle.….

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À cette époque, la société vivait tête baissée sur le mouvement traditionnel qu’imposait l’église. Dans ce contexte, c’est les croyances religieuses et les superstitions qui prenaient le dessus dans la collectivité. Plus le temps évoluait, plus la société devenait moderne. La modernité est-elle un gain ou une perte pour l’individu et la collectivité? La position optée est celle d'un gain pour l’individu et la collectivité.….

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Il s’agit de mettre en évidence la construction progressive mais aussi la diversité des formes de modernité qui, s’élaborant loin d’elle, s’éloignent de la conception revendiquée par l’Europe. Ces modernités se forgent au contact d’autres humanités et d’autres savoirs au prix de risques, d’échanges mais aussi d’agressions. Elle invite à explorer les différents aspects d’une première mondialisation : désenclavement des hommes et des idées, projection de l’Europe dans le monde, regards croisés entre civilisations, acculturation réciproque... Elle interroge aussi sur les limites de ces bouleversements. C’est pourquoi le programme propose une approche qui, jouant sur les échelles et les temporalités, privilégie les interconnections.….

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L’apparition de l’Etat dépend donc de la façon dont les structures sociales modernes se substituent aux structures sociales traditionnelles. Tilly, montre que dans les sociétés ayant connues un développement économique tardif, les structures sociales traditionnelles, fondées sur les relations interpersonnelles et communautaires, résistent aux nouvelles relations qu’instaure la division du travail social (amenée par le développement économique). Ainsi, face à ces résistances et ces crises socio-économiques des sociétés d’Europe occidentale (étant celles qui où les structures traditionnelles résistent le plus) s’impose la nécessité de mettre en place une nouvelle forme de domination. Il apparait ainsi que l’Etat « a du s’imposer au sein des sociétés qui, par suite d’une résistance exceptionnelle de leurs structures traditionnelles, ou….

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