Sujet 1: Pensez-vous que le monde où vous vivez aujourd'hui laisse encore place à la rêverie?

La rêverie a une proportionnalité avec l'âge car plus nous somme grand moins nous pensons à ça. Lorsque l'on est petit, on ne fais que ça mais au fur et à mesure que nous grandissons, avec le travail, nous n'avons forcément pas de le temps pour ceci. Les mauvaises nouvelles par exemple sont des facteurs qui peuvent faire pencher la balance dans le sens défavorable de la rêverie comme par exemple la crise économique, les accidents, mais le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui nous oblige à beaucoup travailler pour survivre mais la rêverie est, on peut le dire, l''exact antonyme de travail. Ce que le monde entier met à l'ordre du jour est plus des actions à court-terme pour obtenir des résultats le plus vite possible or ce n'est pas le cas du rêve qui représente des aspects du futur.En opposition, la société évolue avec des mauvais aspects mais aussi avec de bons qui laissent place et même qui développent le rêve, en clair il faut être un minimum cultivé, comme par exemple grâce aux livres ainsi qu'au cinéma (innaccessible dans les pays pauvres). La société soi-disant libre dans laquelle nous vivons tous peut aussi "vendre" des rêves certes dans un but lucratif mais l'encourage néanmoins à son développement.

En conclusion le il apparaît évident qu’aujourd’hui la rêverie est encore possible dans la mesure, où, certes, de nombreux facteurs s’y opposent, mais justement c’est lorsque le contexte est compliquée que la rêverie existe le plus pour "s’évader" du quoitidien.
Il s’inscrit comme une échappatoire de la vie quotidienne monotone et développe l’idée que demain sera sans doute meilleur qu'aujourd'hui.