Atelier 7 (La table ronde)

1. Oui, ils préfèrent voler que de travailler. James un de leurs amis leur trouve un travaille facile et bien payé. Ils travaillent là-bas trois heures et vont voler un vestiaire de tennis. Il vole des personnes dans la rue sans aucun regret et ils ont l’air d’avoir beaucoup d’expérience en la matière. Mais Pat l’est plus que Madjid, car Madjid serait surement resté travaillé si Pat n’avait arrêté non plus. Madjid est moins nuisible que Pat, il va aider sa mère avec Josette pour la sauver en courant et en apportant Stéphane devant le balcon. Tandis que Pat crache dans les plats à l’école pour ne pas laisser de nourriture aux autres lorsqu’il mange. Mais on ne peut pas être complètement irrécupérable. Pat va quand même aider Raffin quand il est en train de vomir en classe. «Un silence pesant et froid couvrit la salle… C’est Pat et Balou, les anciens, qui le relevèrent. » (p.103)

2. Malika et Madjid ne se comprennent pas. Malika veut qu’il fasse son service militaire, mais Madjid s’en fou. Malika veut que son fils se trouve un travail puisqu’il ne va plus à l’école et que son père ne peu plus travaillé et il s’en fou aussi. Les parents ne laissent pas vivre les enfants. Ils sont seulement dehors et ils se font lancer des bouteilles par les immeubles. Cela frustre les enfants et ils finissent par faire du vandalisme. Cela est lié d’après au fait qu’il y a un problème d’éducation par les parents. Soit il y a un manque de présence parental dans la famille ou un mauvais exemple parental. Dans les familles soit le père est manquant soit il bat les enfants. Pour Madjid par exemple, il travaillait à l’école jusqu’au moment où son père eut son accident. « … celui-ci avait paumé dans sa chute toutes ses facultés et ne possédait plus aucune autorité. » (p.101)

3. Violence : La violence est très présente dans le roman et elle est banalisée. Juste au début du roman, on apprend que le voisin de Madjid, le père Lévesque, bat sa femme et c’est la