Les chemins des anciens amants ont divergé ; Laurent, ainsi que Thérèse, pense à se débarasser de son partenaire. « Thérèse se livrait sans ménagement, allant droit où la poussait sa passion. »1 Une relation animale, folle, brutale commence. Laurent a peur, que sa maîtresse ne le possède entièrement, il veut finir ce jeu mais il est dépendant, l’esclave de cette femme. Pendant quelques mois, « les amants vivaient dans une béatitude complète (...) [avec] la seule crainte de voir cesser cette belle existence »2.

De cette monstrueuse culpabilité qui les hante sans qu’ils ne puissent se l’avouer, les deux amants passent d’une passion totale à un délire commun : la fatalité la plus grande, le désaveu qui cause les dégâts les plus importants est sans doute la déception des conséquences qui suivent le meurtre.
Après s’être mutuellement déchirés, ne pouvant plus se supporter, vivant sous la constante pression des menaces, les deux amants décident, chacun de son côté, de supprimer l’autre. Leur enfer ne s’apaise que lorsqu’ils se prennent sur le fait l’un l’autre : Laurent aperçoit le couteau que Thérèse cache dans sa jupe, et elle-même entrevoit le flacon de poison que Laurent tente de dissimuler.
Cet aperçu de leur mort en marche leur fait prendre conscience que seul le trépas peut les réconcilier. Aussi, Laurent propose-t-il le poison comme arme mutuelle, montrant qu’il avait prémédité son meurtre depuis longtemps et avait froidement acheté le poison. Plutôt que de les apaiser, leurs angoisses unies décuplent et fait de leur vie un enfer.

et ou doit dire que zote passion la tellement dégradé à la fin que Laurent va arrive aux main avc therese et que li sa agresse presque ts les jours pour se sentir plus libre