Internet : de nos jours nous utilisons cette ressource quotidiennement à tel point qu’on ne se souvient quasiment plus du « avant Internet ». C’est un outil dont on se sert machinalement, comme un téléphone ou une télé.
Il est vrai que beaucoup de personnes s’intéressent à son utilité, mais pas à son fonctionnement.
Je faisais parti de ces gens là, pour moi Internet c’était juste un réseau géant géré par tout le monde et personne à la fois, peut-être même par une seule et même organisation. Je ne me posais pas de question telles que la gouvernance et surtout pas sur des organisations aux noms tels que CERTs, ICANN, IANA etc…

C’est pourquoi après avoir étudié ce chapitre plusieurs choses ont retenu mon attention.

La toute première, et je pense la plus importante, est la quasi centralisation des administrations d’Internet aux Etats-Unis.
Bien qu’ils légitiment cette gouvernance de part l’historique de la ressource et que cela soit en un sens compréhensible, cela semble, à l’heure de la globalisation, quelque peu « Impérialiste ».
Il est vrai que les Etats-Unis sont, et ce depuis longtemps, la première puissance mondiale et tendent à le rappeler assez fréquemment sur des enjeux politiques internationaux. Ils avaient donc en un sens un pouvoir de gouvernance sur le monde en général. Et pendant des années cela a plus ou moins choqué.
Mais en ce qui concerne Internet et depuis ses débuts les règles du jeu ont été bouleversées. Bien que les Etats-Unis occupent toujours leur première place, leur gouvernance de l’Internet tend à gêner les puissances émergentes telles que la Chine et les pays de l’UE.
Un seul et même pays qui « gouverne » et « régule » une ressource avec de tels enjeux donne quelque peu l’impression qu’il y tient afin de contrôler une ressource mondiale telle « une tactique » selon les dires du journal « Le Monde ». Ainsi je comprends les pays qui souhaitent instaurer une organisation internationale qui soit au dessus de l’ICANN et suis