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Mes chères lecteurs, voici les trois fables que j’ai choisie de vous présentez, il s’agit de La Cigale et la Fourmi, Le Corbeau et le Renard, qui sont toutes deux des fables de Jean de La Fontaine et Du Chat au Coq qui est elle une fable d’Esope. Ces trois fables ont pour points communs de parler d’animaux mais pas seulement elles font toutes une critique de la société. En effet, dans La Cigale et la Fourmi, l’égoïsme de la fourmi est mis en avant par rapport à cette Cigale démuni. De nos jours, cela ressemble au comportement que l’on peut avoir envers une personne pauvre tel qu’un sans-abri.
Dans Le Corbeau et le Renard, c’est la naïveté du corbeau qui nous est montré et la ruse du renard, aujourd’hui ceci me fait penser lorsque quelqu’un flatte l’égaux d’un individu afin d’en obtenir un service ou autre, on parle d’hypocrisie. Dans Du chat au Coq, le chat cherche un prétexte afin de manger le coq car il est affamé, il s’agit là d’un comportement malsain.
On peut constater, que ce soit La Fontaine ou bien Esope, tout deux se servent d’animaux, l’idée que l’homme est un animal parmi d’autres mais qu’ il doit attention et respect aux autres.
Les fables de La Fontaine appartiennent à l’époque du classicisme où l’on y perçoit l'idéal de l'honnête homme et c'est une période où l’on retrouve un climat religieux, moralisateur tel qu’avec les fables de La Fontaine.
D'autre part, mes liseurs, malgré ces ressemblances je vous fais remarquer la différence d’écriture entre ces deux auteurs. En effet, dans les deux fables de La Fontaine que j’ai choisie, voyez qu’il s’agit de récits à rimes. Par exemples, dans La Cigale et la Fourmi comme dans les deux premiers vers avec « chanté » et « été », il s’agit de rimes plates