Tout dire
Tout dire sous prétexte d’informer.
Les journalistes peuvent-ils se cacher derrière cette excuse ?
Si tel est le cas, n’y a-t-il pas une réflexion à avoir sur se droit de tout dire su journaliste ?
Le journaliste a le droit de tout dire. Pourquoi ?
Tout d’abord, pour rendre l’information juste et complète il est impératif de recueillir tous les détails En effet, comment informer sur un évènement si certains faits ou images ne sont pas divulgués lors du premier récit, afin d’obtenir tout l’information…
De plus, une actualité non divulguée par un journaliste risque d’être détournée de son sens premier. En effet, par le passé, nous avons pu constater que des faits non dits sur des évènements sortis de leurs contextes ont amené des interprétations erronées permettant une récupération afin de manipuler le lecteur et parfois l’opinion public
Mais, le journaliste en rapportant l’information se doit de ne pas tout dire. Pourquoi ?
Tout d’abord, un chroniqueur a accès à des informations qui ne peuvent être divulguées
En effet, certains récits ne peuvent être rapportés aux lecteurs qui par manque de connaissances aussi bien politique, qu’économique passé ou futurs peuvent interpréter faussement les évènements d’où l’obligation pour les journalistes de s’imposer une morale,
De plus, si un chroniqueur ne s’impose pas un minimum de morale le risque que lui confère son métier peut l’amener vers la manipulation des lecteurs/téléspectateurs.
En effet, ne dit-on pas que l’ensemble des journalistes est aujourd’hui le 4ème pouvoir dans le processus de l’opinion public. La manipulation de la presse écrite ou visuelle est un problème majeur dans l’influence que la révélation des faits peut avoir sur les prises de décisions
Donc la présentation des faits pour les rapporter aux publics peut être distillée sans restriction mais les reporters doivent s’imposer une morale afin de ne pas influencer l’opinion –qui par manque de