Tp de néerlandais
1. Introduction: Devenir adulte peut-être une étape difficile. Même si la plupart des gens traversent l’adolescence sans problème majeurs, certains ont du mal à y faire face. Des situations comme les examens ou les persécutions à l’école peuvent les mettre en colère, les angoisser ou les effrayer. Parfois, certain jeunes se sentent si mal qu’ils en arrivent à se suicider. Le suicide est indéniablement une liberté de l’individu. Comment pourrait-on contester à l’être humain conscient et lucide, qui n’a pas choisi l’heure de sa naissance, le droit de choisir celle de sa mort ? Dans quasi la totalité des cas, le suicide n’est ni un choix ni un désir de mort. C’est le désir de mettre fin à une vie intolérable et dont la personne pense à tort ou à raison qu’elle n’a plus les moyens de la changer. Le suicidant ne va pas vers la mort, il fuit une existence qui le nie. C’est donc la liberté de ceux qui ont perdu toute liberté de choix, submergés qu’ils sont par leurs souffrance. Pour que tout s’arrête, ils n’ont pas d’autre solution que de se tuer, seul moyen de tuer cette souffrance. Ce n’est pas la mort qui les attire, c’est la vie qui les repousse. Il n’y a pas à juger, des mots tels que courage ou lâcheté n’ont rien à faire ici. La personne suicidaire n’est ni lâche ni courageuse, elle est étouffée par la souffrance et n’est plus en mesure de trouver les clés qui pourraient lui ouvrir les portes d’une vie meilleure. Aujourd’hui le suicide reste l’un des sujets les plus tabous de notre société. Qui de la victime, de la famille ou des amis peut réellement briser le silence ? En réalité peu de gens osent en parler car ils ont peur d’effrayer, de perturber leur proche. Le suicide reste fortement lié à un sentiment de honte, de culpabilité … 2. Le suicide dans l’histoire: Le mot suicide: sui (de soi) caedes (meurtre), n’est pas très ancien dans la langue française puisqu’il