Tpe économie football
Parallèlement à celui du football, le business des paris sportifs a explosé ces dernières années. Il n’y a rien de plus simple que de parier sur le résultat d’une rencontre: c’est à portée de clic sur Internet, ou de ticket chez les bookmakers ayant une situation confortable et avantageuse. Et comme dans tout business, certains essayent d’en tirer un maximum de profits.
Depuis des mois, l’image de ces sociétés est de plus en plus être associée à celles des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2. Sur le maillot de l’Olympique Lyonnais, le contrat de sponsoring avec la société de paris sportif en ligne Betclic se chiffre en millions d’euros chaque saison. France-Pari, autre société de pari en ligne sur internet, s’est elle associée avec Lens pour deux ans et demi.
Mais il existe d’autres sources de revenus pour les acteurs du sport français. Un pourcentage des mises jouées aux paris en ligne (1,3% en 2010 selon la loi Française) est reversé au centre de développement qui finance les associations sportives en France. Le modèle est similaire à celui du PMU qui avait l’obligation de reverser une partie de ses bénéfices pour la filière équestre. Les fédérations sportives touchent également un pourcentage sur les mises des paris en ligne.
Depuis le 3 novembre 2009, FDJ a lancé la plateforme Parions Web pour faire face à la concurrence des jeux en ligne sur internet (Betclic, Unibet, Bwin...) et Parions Sport dans son réseau de proximité (bar/tabacs/presse).
Depuis moins de deux ans, les logos sur les maillots de certains clubs de ligue 1 ont aussi changé. Comme Lyon, Monaco ou Toulouse par exemple. Trois clubs qui n’avaient pas attendu l’adoption de la loi sur l’ouverture du marché des paris en ligne pour faire la promotion de sociétés privées (Betclic ou encore B-win). Depuis le début de la saison 2010-2011, il n'est plus question de rappel à l’ordre pour ces signataires précoces. En France le Parlement a adopté le projet de loi entraînant la