La mort : est le thème dominant. Tout au long de la nouvelle, la mort est présente. Que ce soit sous forme de jeux de mots « j'avais dut pâlir comme la mort » ou au sens propre, lorsqu'il se sert de celle des autres pour s'enrichir. « on découvrit, un matin, une sexagénaire retraitée asphyxiée par le gaz» elle s''était tuée parce qu'elle avait perdue les trente mille lires de sa pension qu'elle avait touchée la vieille ( et qui avaient fini dans mes mains.)»

l'argent.:

On nous présente au début de la nouvelle, un personnage modeste, qui ne semble pas vraiement avide de richesse.
« J'allais écrire un mot à Corticella et lui restituer cet argent qui n'était pas à moi . »
Sa premiere réaction consiste à se comporter en homme respectable et juste. Mais au long du roman, on se rend compte qu'il change rapidement de caractère, devient de plus en plus égrit et avide d'argent .
« j'aurrai voulut continuer toute la soirée, toute la nuit jusqu'à accumuler des milliards. »
Il profite par ailleur de sa période d'apogée pour dépenser tout l'argent qu'il peut dans des biens materiels .
Enfin, ayant perdu toute notion de l'argent en même temps que ses propres biens, il finira par réaliser que la richesse n'est que superficiel par rapport aux vraies expériences d'une vie.

la tentation:

est toujours présente et au cours de l'ouvrage de plus en plus importante et donc incontrôlable.
« c'était un autre billet de mille lires, alors je fis une troisième tentative. Et un billet sortit. »D'après Buzatti, le personnage est victime du diable. Ce dernier use de charmes pour séduire ses victimes: il peut se métamorphoser en animal ou en humain pour offrir un objet magique (dans Le veston ensorcelé/ le tailleur ou démon offre un veston magique) Le diable satisfait alors un désir qu'il a repéré chez sa victime. Celle-ci succombe à la tentation, transgresse l'interdit (jeunesse éternelle, richesse illimitée, etc...) et établit une sorte