Trtrrtrtrtrrtrtrtr
Les deux livres que nous avons à étudier sont « Le dernier jour d'un condamné » de Victor Hugo et « L'Etranger » d’Albert Camus. « L’étranger » de Camus est un roman, paru en 1942, il met en scène un personnage-narrateur nommé Meursault. Ce personnage est un modeste employé de bureau, à Alger. Il retrace son existence, de la mort de sa mère jusqu’à sa condamnation à mort pour le meurtre d’un arabe, limitée au déroulement mécanique de gestes quotidiens et à la quête de sensations élémentaires .Il décrit les fondements de la philosophie de l’absurde. « Le dernier Jour d’un condamné » est aussi un roman, publié en 1829, qui constitue un réquisitoire sur la peine de mort, c’est un long monologue interne. Le livre se présente comme le journal qu’un condamné à mort écrit durant les vingt-quatre dernières heures de son existence dans lequel il relate ce qu’il a vécu depuis le début de son procès jusqu’au moment de son exécution, soit environ six semaines de sa vie. Ils n'ont pas été rédigés à la même époque puisque l'un a été écrit en 1829 et l'autre en 1942. Cependant on trouve tout au long des deux romans de nombreux points communs. Les deux écrivains ont en effet une vision très négative de la justice et ils militent tout deux contre la peine de mort. Nous allons étudier la vison de la justice d'après les deux auteurs et l'image qui en découle dans leur roman. Puis nous verrons les différents arguments qu'ils avancent contre la peine de