« Un amour sans résistance » de gilles rozier
571 mots
3 pages
Ce roman raconte l’histoire d’un jeune francais ou d’une jeune francaise (l’auteur utilise presque toujours la première personne ce qui rend impossible pour le lecteur de déceler si il s’agit d’un homme ou d’une femme) vivant dans une petite ville en France pendant le temps de la Deuxième Guerre mondiale. Le narrateur, professeur d’allemand à un lycée de jeunes filles mène une vie plutôt lamentable. Il habite une maison avec sa mère et sa soeur cadette, qui a comme propre plaisir de coucher avec l’occupant. Son père est retenu prisonnier en Allemagne. Le protagpniste se marie jeune avant la guerre, pas en raison d’amour mais parce qu’il fallait bien un jour. On peut même dire qu’il ne semble pas trop concerné ni par ce qui se déroule dans sa vie, ni dans son pays. Son seul paisir est de lire tout les différents livres des grand auteurs, en faveur allemand, comme Lessing, Goethe, Schiller, Kleist ou Hoffmannsthal. Pour cette raison il cache tout ses livres interdit dans son sous-sol et y installe une sorte de petite bibliothèque que personne ne connait. Avec ses livres il mène une vie plutôt à l’écart des autres et ne s’interesse pas vraiment pour son environnement, ce qui explique pourquoi qu’il n’est pas résistant. Au contraire, le narrateur rend même service aux occupants nazis en traduisant des articles de la presse de la NS pour l’état-major. C’est pendant cette activité qu’elle rencontre le jeune juif Herman qui a été arrêté par les nazis. Le moi narratif tombe soudain amoureux de lui et décide de le cacher dans son sous-sol pour le sauver des mains nazies. Après, une histoire d’amour commence entre les deux. Comment va-t-elle finir... ? Mon jugement personnelle
Moi personnellement j’ai bien aimé le livre car Gilles Rozier a choisie un protagoniste plutôt preutre que héroique. Il raconte d’une manière très sobre mais quand même authentique une histoire d’amour comme beaucoup de monde aurait pu l’avoir pendant la Deuxième Guerre mondiale. C’est qu’il m’a