Un dimanche à kigali
Lors de notre cours de français, nous avons eu comme tâche d’établir une comparaison entre le livre Un dimanche à la piscine à Kigali et les deux films J'ai serré la main du diable et Un dimanche à Kigali. Bien entendu, il y a des points communs, mais aussi des différences entres ces œuvres! C’est ce dont je vais vous faire part dans ces prochains paragraphes.
Tout d’abord, il est inévitable qu’il y ait plusieurs différences entre le film Un dimanche à Kigali et le livre. En ce qui concerne les détails, un livre en contient normalement plus. Un dimanche à la piscine à Kigali en est la preuve. Tout est plus détaillé. Qu’il soit question des scènes de violences, de viols ou tout simplement de description de lieux. Le langage utilisé est plus vulgaire et certaines scènes sont présentes seulement dans le livre. Personnellement, je crois que le scénariste du film a bien agit en supprimant ou en dédramatisant certaines scènes, car si le film avait été aussi dur que le livre, je crois que j’aurais été la première à refermer mon téléviseur.
Ensuite, il m’est difficile d’établir une comparaison entre les deux films, car je vois presque juste des différences! Appart que les deux parlent du génocide Rwandais. Il y a l’aspect de l’amour qui est très présent dans le film Un dimanche à Kigali comparativement à l’aspect de la guerre et des soldats canadiens dans J'ai serré la main du diable. Je pourrais presque qualifier ce dernier film de documentaire.
En conclusion, il est toujours intéressant de voir a quel point des histoires semblables peuvent devenir si différente lorsqu’on les aborde sous plusieurs aspects et points de