Vente d'organes
Depuis quelques années, un nouveau marché a fait son apparition sur la planète : le trafic d’organes. Il est maintenant possible d’acheter ces organes sur internet peu importe où que vous soyez sur la planète. Ces organes proviennent en grande parti des pays pauvres, entre autre la Chine et l’Inde. En Chine, la plupart des organes proviennent des prisonniers exécutés. L’organe le plus vendu est le rein puisque l’être humain peut facilement vivre avec seulement un rein. Les prix sont d’environ 62 000 dollars pour un rein, 150 000 dollars pour un poumon et 30 000 dollars pour une cornée. Les principaux acheteurs sont d’origine de pays riches avec un économie «confortable». Ils ne veulent pas attendre trop longtemps pour la transplantation dans leur pays puisque les listes sont longues. Donc, ils se tournent vers les donneurs pauvres qui ont cruellement besoin d’argent.
Il y a 2 points de vue importants dans cette problématique, ceux qui sont pour la vie et la santé et ceux qui sont contre pour des questions d’éthiques. Effectivement, avec un tel achat, quelqu’un peut sauver sa vie. Mais, est-il éthique, en 2009, d’acheter l’organe d’un autre être humain qui, sans doute, est dans le besoins, afin d’assoupir nos besoins de vie.
Une situation similaire à celle-ci est l’achat des services d’une mère porteuse sur l’internet. En effet, ces situations sont similaires puisque dans les deux cas, il est question d’acheter la vie par internet.
B - Examiner les repères
Les valeurs en jeu sont le respect de l’être humain en général et de son corps.
La grande partie des pays d'Europe et d'Amérique du Nord ont interdit la vente d'organes.
Il n’y a pas de normes établies au Québec car ce problème n’a pas encore été répertorié à grande échelle. Puisque cette pratique se fait surtout aux USA, le reste du canada est aussi épargné.
C - Évaluer des options ou actions possibles
Légaliser la vente