Verdun
Réconforter les soldats
La correspondance avec la famille est essentielle pour que les soldats gardent le moral . Les colis et les lettres chaleureuses des Marraines de guerre aident les soldats isolés à supporter l’enfer du front. La présence attentive des infirmières et des bénévoles participe également au rétablissement des soldats blessés, évacués dans les hôpitaux de l’ arr
Participer à l’économie de guerre
Dès août 1914, les femmes sont appelées à suppléer la main-d’œuvre masculine mobilisée .Leur rôle est essentiel dans les campagnes, pour assurer la production agricole nécessaire à l’alimentation du front et de l’arrière. Mais aussi dans les usines de métallurgie et de chimie. En 1917, les « midinettes », surnom donné aux couturières, sont à l’origine de mouvements et de grèves. La contestation s’étend ensuite à d’autres secteurs. Les salaires sont augmentés mais restent inférieurs à ceux des hommes et l’encadrement demeure essentiellement masculin.
Au niveau de l'industrie de guerre les relations entre l'Etat et les grandes entreprises sont étroites.
L'Etat se rend très vite compte qu'il manque cruellement de main d'oeuvre. Ainsi la loi Dalbiez rappelle 500 000 travailleurs mobilisés au front pour rejoindre les industries et chemins de fer.
On fait egalements appel à nos coloniaux, mais on manque encore de main d'oeuvre.
Alors l'Etat fait appel aux ouvrières, qu'on va surnommer les "munitionnettes".
En 1917, 40% des femmes se retrouvent dans la main d'oeuvre salariée dont 1/4 dans usines d'armement.
On développe des machines de portage pour