Le voleur agrippa avec fermeté l’échelle, se mit à courir sur le toit de l’immeuble dans la nuit de San Francisco. Il est poursuivi par un policier et un inspecteur en tenue civil. Ayant atteint le toit de l’immeuble, les deux agents, se mirent à courir à vive allure après le voleur. Dans le vif de l’action, le policier, essoufflé, tira désespérément deux coups de feu mais rata sa cible. Se sentant traqué et menacé, le voleur bondit brusquement sur un autre immeuble afin d’échapper à ses oppresseurs. Le policier réussit de justesse à sauter à son tour, l’inspecteur manqua d’élan, échouât sa traversée vertigineuse et dû s’accrocher tant bien que mal à la gouttière de la bâtisse. Abandonnant pour quelques brèves secondes la poursuite du voleur, le policier se dépêchât pour porter main forte à son coéquipier. Le voleur profita de ce moment d’inattention pour s’éloigner davantage. En se penchant pour secourir son collègue, le policier perdit l’équilibre, glissa et effectua une chute de plus de cents mètres avant de s’écraser inerte au sol sous le regard ahuri de l’inspecteur encore malencontreusement agrippée à son support de fortune. Sans doute alertés par le bruit de la chute, quelques individus se portèrent à la rescousse du pauvre inspecteur…

Sous le ciel sombre faiblement éclairé par la lune, un calèche tiré par des chevaux traverse un sentier couvert de neige et bordée de conifères. Deux voyageurs ensommeillés, le professeur Agosius et son fidèle accompagnateur Alfred, tant bien que mal emmitouflés dans leurs vêtements, bravent la froideur nocturne en partagent silencieusement l’étroite banquette de leur attelage mené par un cocher. Le silence de l’environnement est soudainement déchiré par les cris stridents de quelques loups accourant en direction de la carriole. Réveillé par ce tumulte, Alfred se penche anxieusement afin d’évaluer l’ampleur de cette situation périlleuse. Ayant vainement tenté d’alerter ses compagnons de voyage, Alfred eu recours à son