Victor hugo
Dans un premier temps, nous allons étudier sa volonté d’opposer la solitude à laquelle il fait face contre l’esprit familial. Notons tout d’abord qu’il nous présente les membres de sa famille un par un et qu’il fait preuve d’une progression logique. En effet, il nous parle de ses deux jeunes enfants au vers n°2 « 2jeunes », ensuite il nous présente ses deux aînés au vers n°11 « 2 aînés », puis au début du vers n°24 « votre mère » il nous fait part de sa femme et il finit par nous parler du grand père de ses enfants à la fin du vers n°24 « votre aïeul ». Nous pouvons donc voir qu’il fait sa présentation des plus jeunes au plus âgés. Il utilise deux pronoms qui sont le « je » et le « vous » qui nous font comprendre que son entourage est ensemble et que lui, est seul. Cela peut être aussi justifié pars le vers n°1 « Loin du toit où vous êtes » qui nous montre qu’il est seul, loin d’eux et par le vers n°15 « seul et triste » moment auquel sa solitude l’attriste. Comme le montre le vers n°2 « je songe à vous », il n’est pas avec sa famille mais il a tout de même de nombreuses pensées pour elle. La ponctuation exclamative employée par l’auteur est très explicite et nous fait comprendre que les sentiments qu’éprouve le poète sont très forts. A travers ce poème, Victor Hugo se remémore des souvenirs. Le vers n°22 « A la table qui rit, au foyer qui pétille » où le nom « foyer » nous fait penser à une table réunie et une famille unie, et le vers n°24 « votre mère si tendre et votre aïeul si doux » où il suggère que ces personnes lui manque en sont un bon exemple. Dans un seconde temps, nous allons étudier le cadre hostile de Victor Hugo opposé à son foyer bienveillant d’avant. Nous voyons que les mots « flot » « matelots » « falaise » « rocher » permettent d’insister sur le cadre hostile qui entoure l’auteur et que les mots « étendu » « l’infini » cherchent à émouvoir le