Victor hugo
l.1 « disent », il ne s’implique pas, il n’y a qu’eux, ce ne sont que des mort, ils n’ont pas la même valeur que des extraits. « ceux », il montre du doigts, met à distance.
Thèse = idée / position / opinion (défendue)
Thèse réfutée Thèse défendue, soutenue.
= remise en cause,
= ou niée,
= ou opposé (bof…).
Antithèse = l’opinion opposée à celle énoncée par la thèse.
4 alinéas. Le 3ième alinéa n’est pas amorcé par un connecteur, il a un statut différent, on y voit un peu l’avis d’Hugo. Il explique. « - » mettent en scène les arguments ainsi qu’une apparence d’un dialogue. Le dernier paragraphe : théorie de l’exemple. Pourquoi est-il plus long ? C’est le seul qui contient un exemple et vérifiable.
Introduction :
Victor Hugo, figure majeure de la littérature du XIX° siècle (1802-1885), auteur romantique qui révolutionna le théâtre en instaurant les principes du drame romantique, poète de la Légende des siècles, romancier à qui l’on doit les œuvres fameuses de la littérature française comme les Misérables, Claude Gueux, Notre dame de Paris, homme politique impliqué dans les luttes de son époque, il publie en 1829 ce cours récit d’un Dernier jour d’un condamné et ce de façon anonyme afin que l’art ne prenne pas le pas sur le combat contre la peine de mort. Mais le scandale qui accompagna le parution de l’œuvre oblige Hugo a se démasquer et à remplacer sa modeste préface de 6 lignes, qui donnait au lecteur le choix de lire l’œuvre comme celle d’un poète philosophe ou comme le journal d’un condamné à mort. Pour cette raison, un texte plus conséquent voit le jour en 1832 justifiant à la fois les choix littéraires opérés par l’auteur et répondant aux critiques des farouches partisans de la peine de mort. Cette préface, est la 3ième réédition de l’œuvre, donne au lecteur ce bref réquisitoire (discours à charge) serti au cœur d’une longue préface où alterne saynètes