Victor hugo
Les détails d’une scène vue : C’est un poème qui ont dirait est comme un documentaire une description des lieux, des personnages en présence, par petites touches « comme si on y était ». Série de phrases d’un seul vers pour commencer le poème, qui donnent tous les éléments nécessaires.
Nombreux détails pratiques très précis : « le drap blanc », dans « l’armoire de noyer », « la toupie de buis » tous décrit la pauvreté honnête.
Il parle aussi de la triste mort d'un enfant, décomposition du corps de l’enfant, « sa bouche, son œil, ses bras pendants, les troues de ses plaies ».
Comme si l'enfant était en train de mourir « s’ouvrait, noyait, semblaient demander, un bois qui se fend »), ce qui renforce la violence et la tristesse de la scène.
Il parle aussi de sa grand-mère qui l’embrasse comme si il était encore vivant, ce qui est horrible « approchez la lampe, le prit sur ses genoux » « comme pour réchauffer ses membres ».
L'enfant est comparé à plusieurs chose (« la mûre, le bois qui se fend »). Il parle aussi de la tristesse de la grand-mère, qui pleure qui ressent la souffrance, le chagrin « ils m’ont tué ce pauvre petit être ». Et il parle aussi des autres personnes qui, on peut imaginer que ce sont eux qui ont rapporté le corps à la grand-mère.
Le pathétique est très présent dans ce texte, qui est a priori distincts, ce qui lui permet de préciser la force de persuasion de son