Victor hugo, les chatiments, les chatiments
L’octosyllabe donne une dimension tragique avec l’adjectif « lugubre ». Il renforce l’impact de l’adjectif « noir » avec la sonorité de voir. + on descend et + on observe qqchose qui va être lié à la mort. Vers 13Après une 2e strophes qui rappelait les sonorités de la 1ere strophe va mettre en avant un contraste. Le poète va insister sur la mort du titan avec de nouvelles sonorité parallèles « en ce moment ». Il commence par un complément de temps qui crée ce parallèle temporel. Au passé simple va s’opposer aussi le temps de la durée : l’imparfait. Vers 14Le poète présente le titan avec le résultat d’une action « qui venait d’y rouler ». Il évoque ensuite un phénomène naturel « vingt coups de tonnerre ». Dans la mythologie le titan semble puni par Zeus : le dieu du tonnerre. La punition est hyperbolique avec 20 coups de tonnerre. Cela suggère que son crime est terrible.Vers 15 La conséquence de la punition se retrouve de …afficher plus de contenu…
La communication de « elle » passe par le verbe « dire ». C’est une parole simple développer par la suite et le signe d’une certaine complicité. Hugo renforce l’impact de la parole en introduisant un tiret après la césure : c’est le signe qu’il fait marquer un silence. « J’ai peur » crée une surprise car le personnage était présenté par son audace (vers 9 ->oser). La peur est celle d’être vu mais le danger reste énigmatique avec « on ». On peut considérer que « on » correspond aux vautours ou à Zeus lançant les coups de tonnerre ou même du titan. Vers 20La femme prend l’initiative pour le couple-> « cherchons » suivi de « notre joie ». Elle précise un but « afin ». La femme considère que pour être heureux il faut vivre cacher. « antre » permet de rappeler de manière réaliste la réalité géographique