Guillaume
Calibre
Première Economique

Dissertation de Français.

Sujet : « Ce que nous demandons à l'avenir, ce que nous voulons nous de lui, c'est la justice, ce n'est pas la vengeance. » déclare Victor Hugo dans les notes des Châtiments.
Cette proposition vous semble-t-elle pouvoir s'appliquer à l'ensemble du recueil ?

« En présence de Dieu et devant le peuple français, je jure de rester fidèle à la République démocratique et de défendre la constitution » déclara Louis Napoléon Bonaparte le 20 décembre 1848 devant l'Assemblé pour prêter fidélité à la Constitution. Et pourtant, cela n'a pas empêché le chef de l'état de faire dériver la république française : la troisième république était né. Victor Hugo, poète français; auteur de grandes oeuvres tels que : Les Contemplations ou Les Châtiment fut choquer et révolté contre ce coup d'état. Il décida donc lors de sont exile en Europe, d'écrire un recueil de poème qui portera ses souvenirs, ses pensées, ses incompréhensions, ses colères sur la nouvelle France. Les Châtiments, est un appel à la révolte, à la révolution du peuple français.
Dans les notes du recueil, Victor Hugo dit : « Ce que nous demandons à l'avenir, ce que nous voulons de lui, c'est la justice, ce n'est pas la vengeance »; l'auteur nous montre une lueur de raison. En effet, il veut amener le peuple à une révolution contre Napoléon III pour revenir à une république. Et non continuer dans une société de dictature.
Mais, cette proposition s'applique t-elle à l'ensemble du pouvoir ?
C'est ce que nous allons traité durant deux points important. Dans un premier lieu, nous allons éclairé une justice qui prime au sein des Châtiments, alors que dans un deuxième temps, nous élaborons une recherche sur le goût d'une vengeance.

Tout d'abords, nous allons étudier la justice, qui prime tout au long des Châtiments. Nous pourrons voir, à partir de quelques poèmes du recueil, que pour Victor Hugo c'est un enjeux important et juste pour que la